KAKAMOEKA : LE GRAND BOND … EN ARRIERE
Par Marcel POATY
Vivre au XVIIIe siècle en plein XXIe siècle.
Cette formule, à l’allure à la fois de raccourci et de paradoxe, peut servir à résumer la situation dramatique dans laquelle se trouve actuellement le district de Kakamoéka dans le domaine des communications, singulièrement dans le transport fluvial.
Par la voie terrestre, 150 kilomètres, et 200 à 300 kilomètres séparent Kakamoéka de la grande ville de Pointe-Noire, dite capitale économique du Congo- Brazzaville, par les routes respectives de Sounda et de Madingo- Kayes.
Du fait de la distance, et surtout des innombrables aléas du transport sur les routes susmentionnées qui ne sont plus aujourd’hui, en bonne partie, que des souvenirs de routes, il a toujours été plus agréable et plus reposant pour les habitants de Kakamoéka de voyager par le fleuve Kouilou pour aller à Pointe-Noire ou pour en revenir. Lire la suite.......
Source : www.maux-en-mots.com/pepin.php?num=congoscopie&&id_article=73